Embarquez
avec le Panach’Club
Entre Agatha Christie et Jules Verne, le Panach’Club manie l’escobarderie et s’attaque à un mystère bien plus obscur que le Triangle des Bermudes, vous entraînant dans une comédie absurde so british qui fleure bon les Années Folles…
Le 6 avril de l’an de grâce 1920, sept jeunes veuves éplorées quittent le port d’Ostende à bord de l’Amertume pour aller récupérer les dépouilles de leurs maris décédés dans le naufrage du Titanic. Tous étaient membres de l’équipage de l’insubmersible, et leurs corps congelés viennent de refaire surface.
Mais le paquebot n’atteindra jamais le golfe du Saint-Laurent. Quelques semaines plus tard, il sera retrouvé, sans âme qui vive à son bord, errant sur les flots tel un vaisseau fantôme…
Ou pas.
Une histoire totalement givree…
Alors que le Royaume de Belgique se remet douloureusement de la Grande Guerre, une nouvelle aussi tragique qu’invraisemblable arrive le 5 janvier 1920. Sept dépouilles congelées ont été retrouvées au large de Terre-Neuve. Les malheureux sont vite identifiés : il s’agit des “Belges du Titanic”, tous membres de l’équipage de l’Insubmersible.
La Belgique est en émoi ! Suite à cette sordide découverte, en 3 mois à peine, la Couronne monte une expédition de toute urgence afin que les veuves affligées puissent rapatrier les corps de leurs époux.
Mais l’histoire se répète et de cette traversée non plus, personne ne reviendra…
(source : wikipedia)
des cadavres congeles
C’est le 5 janvier 1920, qu’au sud de Saint-Pierre-et-Miquelon, les sept corps sont repêchés. Parfaitement préservés dans la glace, on ne tarde pas à reconnaître en eux les “Belges du Titanic”, seuls membres de l’équipage de nationalité belge ayant perdu la vie en 1912 lors du terrible naufrage.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, les dépouilles ont pu être conservés grâce aux températures extrêmement basses. On ne sait pas pourquoi elles sont remontées maintenant. 5 années de plus et l’acidité de l’eau à cette profondeur aurait dissout les corps sans nul douteRoger Balmine, un éminent physiologiste du Peale Museum de Baltimore. 1920.
des veuves éplorees
Après la découverte des corps, les femmes de ces braves hommes sont dévastées.
Elles, qui durant huit longues années avec gardé la frêle conviction que leurs époux aient pu survivre malgré tout, voient leur espoir s’effondrer.
Margaret Bloomberg, Juliette Manvoord, Millie Peters, Anna Robinson, Bessie Charlier, Jeanne Talbot et Elizabeth Von Appflestörm, 7 valeureuses femmes qui, malgré un profond chagrin et une propension au mal de mer pour certaines d’entre elles, ne baissèrent pas les bras, enfilèrent leur parka, saisirent leur sextant et embarquèrent à la rencontre de leur maris.
Morts, certes, mais maris quand même.
une expedition hasardeuse
Organisée dans la hâte, en 90 jours à peine, l’expédition a été montée de toute pièce par la Couronne sur ordre direct d’Albert 1er, permettant aux veuves reconnaissantes d’aller chercher les dépouilles de leurs maris pour les ramener en Belgique et les accompagner dans leurs sépultures.
À la manoeuvre : le Capitaine Kirk C. Stubbin aidé de son second Mr Bones Bones; et, pour animer la croisière (les nuits sont longues dans l’Atlantique), un pianiste sourd mais doué de ses mains : Sam.
Un équipage certes réduit mais courageux pour diriger le fier paquebot et ses veuves sur les flots glacés de l’Atlantique.
Pourtant, l’Amertume sera retrouvé au printemps 1920, errant au large de Terre-Neuve tel un vaisseau fantôme, sans âme qui vive à son bord…
Ayant d’autres chats à fouetter, la Belgique préfèrera finalement envoyer par le fond le bateau errant dans les eaux françaises, plutôt que de payer les frais de son rapatriement.
Que voulez-vous ? Il n’y a pas de petites économies, hier, comme aujourd’hui.
un mystere insondable
Près de 100 après la perdition de l’Amertume, le mystère reste absolu !
Qu’a-t-il bien pu se passer en mai 1920 ?
Mutinerie ? Epidémie ?
Attaque de phoques ?
Nul ne le sait…
La vérité se trouve-t-elle dans « 7 Veuves sur les flots », le roman-reportage de Peter Dongle paru en 1924, ou dans les futures conclusions des fouilles sous-marines entamées au printemps 2015 sur l’épave de l’Amertume ?
Le Panach’Club a décidé de pas attendre que les historiens se mettent d’accord, et vous dévoile ce qu’il s’est vraiment passé à bord de l’Amertume.
C’est pour nous, c’est cadeau!
Pour le savoir, une seule chose à faire :
Une histoire totalement givree…
Alors que le Royaume de Belgique se remet douloureusement de la Grande Guerre, une nouvelle aussi tragique qu’invraisemblable arrive le 5 janvier 1920. Sept dépouilles congelées ont été retrouvées au large de Terre-Neuve. Les malheureux sont vite identifiés : il s’agit des “Belges du Titanic”, tous membres de l’équipage de l’Insubmersible.
La Belgique est en émoi ! Suite à cette sordide découverte, en 3 mois à peine, la Couronne monte une expédition de toute urgence afin que les veuves affligées puissent rapatrier les corps de leurs époux.
Mais l’histoire se répète et de cette traversée non plus, personne ne reviendra…
(source : wikipedia)
des cadavres congeles
C’est le 5 janvier 1920, qu’au sud de Saint-Pierre-et-Miquelon, les sept corps sont repêchés. Parfaitement préservés dans la glace, on ne tarde pas à reconnaître en eux les “Belges du Titanic”, seuls membres de l’équipage de nationalité belge ayant perdu la vie en 1912 lors du terrible naufrage.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, les dépouilles ont pu être conservés grâce aux températures extrêmement basses. On ne sait pas pourquoi elles sont remontées maintenant. 5 années de plus et l’acidité de l’eau à cette profondeur aurait dissout les corps sans nul douteRoger Balmine, un éminent physiologiste du Peale Museum de Baltimore. 1920.
des veuves éplorees
Après la découverte des corps, les femmes de ces braves hommes sont dévastées.
Elles, qui durant huit longues années avec gardé la frêle conviction que leurs époux aient pu survivre malgré tout, voient leur espoir s’effondrer.
Margaret Bloomberg, Juliette Manvoord, Millie Peters, Anna Robinson, Bessie Charlier, Jeanne Talbot et Elizabeth Von Appflestörm, 7 valeureuses femmes qui, malgré un profond chagrin et une propension au mal de mer pour certaines d’entre elles, ne baissèrent pas les bras, enfilèrent leur parka, saisirent leur sextant et embarquèrent à la rencontre de leur maris.
Morts, certes, mais maris quand même.
une expedition hasardeuse
Organisée dans la hâte, en 90 jours à peine, l’expédition a été montée de toute pièce par la Couronne sur ordre direct d’Albert 1er, permettant aux veuves reconnaissantes d’aller chercher les dépouilles de leurs maris pour les ramener en Belgique et les accompagner dans leurs sépultures.
À la manoeuvre : le Capitaine Kirk C. Stubbin aidé de son second Mr Bones Bones; et, pour animer la croisière (les nuits sont longues dans l’Atlantique), un pianiste sourd mais doué de ses mains : Sam.
Un équipage certes réduit mais courageux pour diriger le fier paquebot et ses veuves sur les flots glacés de l’Atlantique.
Pourtant, l’Amertume sera retrouvé au printemps 1920, errant au large de Terre-Neuve tel un vaisseau fantôme, sans âme qui vive à son bord…
Ayant d’autres chats à fouetter, la Belgique préfèrera finalement envoyer par le fond le bateau errant dans les eaux françaises, plutôt que de payer les frais de son rapatriement.
Que voulez-vous ? Il n’y a pas de petites économies, hier, comme aujourd’hui.
un mystere insondable
Près de 100 après la perdition de l’Amertume, le mystère reste absolu !
Qu’a-t-il bien pu se passer en mai 1920 ?
Mutinerie ? Epidémie ?
Attaque de phoques ?
Nul ne le sait…
La vérité se trouve-t-elle dans « 7 Veuves sur les flots », le roman-reportage de Peter Dongle paru en 1924, ou dans les futures conclusions des fouilles sous-marines entamées au printemps 2015 sur l’épave de l’Amertume ?
Le Panach’Club a décidé de pas attendre que les historiens se mettent d’accord, et vous dévoile ce qu’il s’est vraiment passé à bord de l’Amertume.
C’est pour nous, c’est cadeau!
Pour le savoir, une seule chose à faire :
L’Equipage
Anna Robinson
« Est-ce qu’un fou se rend compte qu’il est fou? Est-ce qu’une folle ce rend compte qu’elle est folle? Est-ce qu’une femme se rend compte qu’elle est seule? »
Bessie Charlier
« Aujourd’hui tout va tellement vite. Fiancée l’après-midi, mariée dans la nuit, veuve dès le matin… »
Bones
« Méfie-toi du phoque qui fait le mort et de la femme qui se tait. Tous deux préparent un mauvais coup. »
Elizabeth von Appfelstörm
« Ce n’est pas parce que nous sommes des femmes que nous en sommes pas moins hommes! »
Margaret Bloomberg
« Je n’ai plus dansé depuis des lunes! Je ne sais même pas si mes jambes connaissent encore la musique! »
La Salle des Machines
Eric de Staercke
Mise en scène
Cecile Delberghe
Assistanat
Benoit Lavalard
Création Lumières
Benjamin Torrini
Transmedia
Céline Rappez & Laurence Goeminne
Scénographie
Aurélie Giet
Danses
Antoine Lanckmans
Prises de vues
Suzanne Devaux
Costumière stagiaire
Le Panach’Club reçoit l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Avec le soutien de l’espace d’inventions du Centre culturel du Brabant wallon
L’Equipage
Anna Robinson
« Est-ce qu’un fou se rend compte qu’il est fou? Est-ce qu’une folle ce rend compte qu’elle est folle? Est-ce qu’une femme se rend compte qu’elle est seule? »
Bessie Charlier
« Aujourd’hui tout va tellement vite. Fiancée l’après-midi, mariée dans la nuit, veuve dès le matin… »
Bones
« Méfie-toi du phoque qui fait le mort et de la femme qui se tait. Tous deux préparent un mauvais coup. »
Elizabeth von Appfelstörm
« Ce n’est pas parce que nous sommes des femmes que nous en sommes pas moins hommes! »
Margaret Bloomberg
« Je n’ai plus dansé depuis des lunes! Je ne sais même pas si mes jambes connaissent encore la musique! »
La Salle
des Machines
Mise en scène
Eric de Staercke
Assistant
Cécile Delberghe
Scénographie
Céline Rappez &
Laurence Goeminne
Création Lumières
Benoit Lavalard
Conseiller Transmédia
Benjamin Torrini
Prises de vues
Antoine Lanckmans
Danses
Elodie Giet
Costumière Stagiaire
Suzanne Devaux
Costumes
MAGHET
Avec le soutien de l’espace d’inventions
du Centre culturel du Brabant wallon
Le Panach’Club reçoit l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles.